Teach Up : former, c’est s’adapter !
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Teach Up : former, c’est s’adapter !

Start-up spécialiste des formations en ligne, Teach Up s’appuie sur une innovation : l’adaptive learning. Pour la découvrir, lisez cet article !

Tout le monde le sait : suivre une formation en ligne nécessite une bonne dose de motivation.  Même les plus studieux apprécient l’approche ludique et interactive au-delà des bons vieux QCM.

Heureusement, Teach  Up est apparue. Née en 2016 au sein du cabinet de conseil Very Up, spécialisé en ingénierie pédagogique, la start-up a ensuite volé de ses propres ailes en 2020, en devenant une plateforme SaaS.

Teach Up est arrivée…  

Margaux François, COO de Teach Up, s’en souvient comme si c’était hier : « À force d’avoir des clients de plus en plus nombreux, on a décidé de lancer l’aventure Teach Up en tant qu’entreprise. Pour l’équipe fondatrice qui vient du monde du service, ça a été un choc de passer  à une entreprise tech ! ».

Cette « spin-off » de vingt salariés fournit à ses clients (Docaposte Institute, SNCF, Ubisoft, Accor, Bouygues construction, Crédit mutuel, Ornicar…) une plateforme innovante qui permet de créer des formations en ligne immersives, personnalisées et collaboratives.

Pensée par des acteurs de la formation, Teach Up dispose d’un avantage concurrentiel : le e-learning personnalisé par une Intelligence Artificielle qui adapte le contenu en fonction de la progression de chaque apprenant . C’est ce qu’on appelle l’adaptive learning.  

À chacun sa formation selon ses besoins

Basés sur une IA pédagogique et un système d’Adaptive Learning, les algorithmes embarqués de Teach Up analysent chaque interaction d’un apprenantface à son écran en temps réel pour générer le chemin d’apprentissage le plus adapté à son rythme. Chacun doit réussir suivant ses attentes et son niveau de compréhension. « C’est vraiment notre différenciation sur le marché. On est parti d’un constat : avec le e-learning, les apprenants ont tendance à plonger dans un effet tunnel. Démotivés par l’inadéquation des formations à leurs besoins 7 personnes sur 10 les trouvaient ennuyeuses ! », rapporte Margaux François.

Appuyée sur les neurosciences, la mise en place d’un parcours de formation par un test de positionnement en amont. Objectif : identifier les acquis et les lacunes initiales de l’apprenant.

En « engageant » la personne formée, Teach Up a les yeux rivés sur un KPI : le taux de maîtrise. Autrement dit, la formation s’achève lorsque l’utilisateur maîtrise l’ensemble des contenus. Par exemple, sujet aux pertes d’attention, tel apprenant aura besoin d’être régulièrement stimulé par des contenus et tests différents. Un autre, débutant, devra revenir plusieurs fois sur une même notion pour l’assimiler.

Hyper mémoriser pour assimiler

On peut résumer le but visé à un chiffre : 100% de taux de maîtrise. Si l’objectif chiffré paraît très ambitieux, il passe par un procédé des plus réalistes : l’Hyper Mémorisation, une fonctionnalité développée par Teach Up pour garantir 100 % de maîtrise sur des connaissances clés à un instant T.  

Gardons à l’esprit ses trois étapes-clés :

  • Apprentissage : mise en valeur des notions essentielles à transmettre tout en variant le type d’interaction avec l’apprenant.
  • Ancrage : retour sur les notions non-assimilées jusqu’à ce que l’ancrage mémoriel soit établi.
  • Validation des acquis : confirmation de la maîtrise des contenus-clés.

Un café virtuel, s’il vous plaît !

Et demain ? Teach Up aspire à étoffer ses effectifs, et passer d’une vingtaine à 45 salariés d’ici début 2025. Pour ce faire, la jeune pousse lève actuellement des fonds. En forte croissance, Teach Up compte 150 clients, des grands groupes aux PME, notamment Docaposte Institute accélérateur de compétences numériques de Docaposte, filiale du groupe La Poste. La start-up entend bien poursuivre son ambition : devenir le leader européen de l’adaptive learning.

Quelle leçon retenir de cette belle réussite ? Pour Margaux François, une réponse s’impose : la nécessité du dialogue : « Même si on adore son produit et qu’on le trouve génial, il faut se réserver des moments de discussion avec ses clients. Ils nous connaissent et osent nous dire les choses. On se connecte à leur feedback. C’est une énorme source d’inspiration. ». La même logique vaut entre dirigeants d’entreprise : comprendre et échanger permet de rester connecté au marché, voire de s’inspirer d’expériences. En somme, l’adaptive learning peut se déployer autour d’un café !

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