«Les start-ups possèdent une forme d’impertinence qui nous inspire»
Grâce au programme French IoT, La Poste allie ses compétences à celles des start-up. Vanessa Chocteau directrice du projet chez Docapost et Alexandre Dugarry co-fondateur de la start-up ACA-O, nous parlent de cette collaboration. Interview.
Portée par son ambition de devenir un acteur majeur de l’internet des objets, La Poste a décidé de faire appel à une multitude de talents (start-up, PME, grands groupes, incubateurs, pôles de compétitivité, métropoles French Tech, etc.) à travers son programme «French IoT». Objectif : mutualiser les compétences, pour trouver de nouveaux usages et faire émerger une filière française d’excellence. Mais concrètement, comment faire travailler ensemble des entités de culture différentes? Regards croisés de Vanessa Chocteau, directrice du programme French IoT chez Docapost, et Alexandre Dugarry, co-fondateur de la start-up ACA-O, qui a développé GreenMe, un cube capable de mesurer le confort des travailleurs dans les entreprises.
Pourquoi avoir décidé de vous associer à des acteurs si différents de vous ?
Vanessa Chocteau. En tant que grand groupe, nous aurions pu nous lancer seuls dans l’Internet des objets. Nous avons les capacités humaines, financières, marketing et logistiques pour le faire. Mais il nous a semblé plus malin de nous associer à d’autres acteurs. L’idée est d’apprendre de leurs forces…
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Illustration cc0/T.Gouw